Passer directement de “La Princesse des Glaces” à “l’Enfant Allemand” est un voyage temporel brutal. Dans le premier ouvrage de Camilla Läckberg, sa biographe-enquêtrice commençait à peine à flirter avec un policier amoureux transi. Sans transition - ou plutôt en ayant sauté les transitions - on les retrouve mariés, installés et munis d’une fillette d’un an. Le bébé est le véritable personnage central du livre, on peut trouver sa présence un peu envahissante - reflet des préoccupations de l’auteur ?
